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Interview  (Paris)  février 2007

En première partie du concert archi-complet The Decemberists à la Maroquinerie, Lavender Diamond groupe pop-peace intriguant.

Le rendez-vous est pris après leur show, nous permettant ainsi de découvrir une chanteuse, Becky Stark, à la voix incroyablement gracieuse et aux interventions scéniques optimistes !

Rencontre avec la demoiselle enchantée et enchanteresse à l’origine de ce projet musical porteur de bonheur.

Ce soir, c’était votre dernier soir avec The Decemberists, comment s’est passée cette tournée ?

Becky Stark : Merveilleux. C’est la première fois que nous jouons en Europe, nous venons également de faire notre première tournée aux Etats-Unis. The Decemberists nous ont énormément appris, cette collaboration nous a aussi permis de jouer devant un public très large. Et puis, c’était fabuleux de pouvoir les écouter tous les soirs, leur musique est magnifique ! Nous sommes vraiment chanceux.

Tu as commencé seule ce projet, cette aventure, Lavender Diamond… peux-tu nous raconter comment tout ceci a commencé et comment ce projet solo a évolué en tant que groupe ?

Becky Stark : Effectivement, ce fut une aventure, le terme est exact ! L’idée de Lavender Diamond m’est venue en rêve. C’était une grotte dans laquelle il y avait des pierres et dont aucun être humain n’avait connaissance. Il y avait de la musique dans cette grotte, un son très pur, très beau, très harmonieux, très cristallin. Cette musique m’envahissait complètement.

Un jour, un homme entendit ce son, il décida alors de le suivre jusqu’à la grotte. Là, il découvrit toutes ces pierres de cristal qui brillaient. Il prit une de ces pierres, un de ces diamants, c’était un "Lavender Diamond". Quand il s’emparait du diamant, le son s’arrêta brusquement. Effrayé, il s’enfuit en courant…Des centaines d’années plus tard, ce diamant s’est retrouvé sur la bague d’une femme, qui avait le pouvoir de chanter le son qui était autrefois dans la grotte. Une pie tenta un jour, de voler cette bague au doigt de la femme.

Les deux se sont battus et sont tombés du balcon sur lequel ils étaient. En tombant, ils se tuèrent tous les deux. La pierre s’est donc retrouvée enterrée dans le sol, dans le ventre de l’oiseau. Des centaines d’années plus tard, l’âme de la pierre ainsi que le son de celle-ci, renaissent dans un oiseau-chanteur appelé Lavender Diamond. Celui-ci vit dans un très vieil arbre, et son nid est situé à proximité de la fenêtre d’une femme appelée la reine de l’intérieur.

Voilà, c’est l’histoire incroyable de Lavender Diamond ! Une histoire qui est venue à moi en rêve. J’ai commencé à écrire des chansons par rapport au personnage de Lavender Diamond. Je voulais être, je voulais jouer ce personnage, Lavender Diamond est mon nom.

C’est l’histoire du commencement, mais tu as fait évoluer Lavender Diamond, sous différentes formes artistiques d’ailleurs…

Becky Stark : Oui, j’ai une amie à Providence dans le Rhode Island, Zender Marrow, une artiste fabuleuse, elle mélange la peinture avec des poupées, elle fait des films, elle crée des vêtements… elle est incroyablement visionnaire. Quand on était petites, on a monté pas mal de pièces de théâtre à l’école… donc quand l’histoire de Lavender Diamond est venue à moi, naturellement je me suis dit qu’il fallait en faire une pièce, une opérette pour Zender.

Mais quand je lui en ai parlé, elle ne voulait pas le faire tel quel. On a donc pensé les choses différemment. C’est moi qui jouais le personnage de Lavender Diamond, et elle, un personnage appelé Lady Long Arms, même si je voulais qu’elle joue le personnage a reine de l’intérieur. La pièce que nous avons montée était un conte, une sorte de fable. Deux dames avaient pour travail d’inventer la paix dans le monde. Elles avaient un bureau, elles tapaient, elles avaient des tas de dossiers, des rapports… comme un boulot de bureau. On a donc écrit leurs aventures, la musique aussi et on a fait une tournée avec cette pièce pendant presque 3 mois.

Cette pièce s’appelait "The Birdsongs of the Bauharoque", ce mot est une combinaison de Bauhaus et Baroque. Cette pièce était drôle ! Parallèlement comme j’écrivais pas mal de chansons en tant que Lavender Diamond, j’ai fait un album toute seule appelé "The Back Of The Wing", puis un autre avec d’autres morceaux " When Are You Coming Home".

Tu étais toujours toute seule à ce moment là ?

Becky Stark : Oui toute seule avec ma guitare. Ensuite, de temps à autre, je jouais avec un autre guitariste appelé Elvis Perkins. Il a récemment tourné avec Clap Your Hands Say Yeah. Elvis doit d’ailleurs sortir dans quelques mois un album solo sur Domino Records. C’est vraiment un excellent guitariste. Puis, je suis retournée à Los Angeles, après avoir joué la pièce. J’avais plein d’idées en tête, des centaines de chansons ! Ron, actuellement notre batteur, était aussi à LA, je l’avais rencontré au préalable à Rhode Island.

Nous avons donc démarré un groupe à Los Angeles, juste tous le deux, chant et batterie, appelé "The Mystical Unionists". Jeff, notre futur guitariste, aussi était à Los Angeles. On jouait aussi tous les deux de notre côté, mais plutôt de la musique country que j’avais écrite. Steeve, notre clavier, il compose du classique normalement, était lui aussi dans la même ville. Avec lui aussi, je jouais régulièrement. J’avais composé des morceaux pour un orchestre, un orchestre classique. En fait, j’avais 3 duos différents, séparés… Et comme j’ai fait un autre rêve dans lequel j’avais un groupe, j’ai simplement proposé à tout le monde. "Hé, on devrait monter un groupe !"

Aucun n’était d’accord. Je ne sais pas pourquoi… Finalement, on a essayé de jouer un morceau que j’avais écrit. Ça été magique, incroyable. On n’arrivait pas à y croire, c’était magnifique ! Et depuis, on a toujours joué ensemble. Je leur ai aussi parlé de Lavender Diamond, de la "façon d’être" que ça signifie, une certaine idée du son, une certaine idée de l’amour, une façon particulière de partager la musique…

Quelles sont tes sources d’inspiration pour l’écriture ?

Becky Stark : La nature en premier et puis ensuite, les amis. Mais il y a aussi le silence et le calme. Ce sont ces moments là qui sont propices aux idées. Et aussi les rêves bien sûr.

La plupart de tes textes parlent de paix, d’amour et même parfois de Dieu… Ce sont des sujets plutôt controversés, "Touchy", sur lesquels les gens sont dans la plupart du temps sceptiques en ce qui concerne la paix, voire carrément critiques en ce qui concerne la religion. As-tu déjà eu à faire face à des réactions excessives ou agressives ?

Becky Stark : Oui. Mais il ne me semble pas que je parle de Dieu tant que ça. Je ne suis pas pratiquante, je ne suis pas sûre de croire en la religion à vrai dire. Je ne suis pas contre, je pense que la religion peut avoir de bons aspects… j’ai été élevée dans une famille très pratiquante, on peut dire que j’ai grandi dans une église mais j’ai pourtant toujours eu une défiance assez forte contre l’église.

En premier lieu, ce système "patriarcal" dans lequel on appelle Dieu "The Lord", ce qui voudrait dire que Dieu a pris forme dans le corps d’un homme, je trouve ça terrible. En second lieu, le fait que Dieu ait pris forme dans un corps extérieur aux gens. Ça n’a pas de sens. Pour moi ce qui est en rapport avec Dieu est en rapport avec l’intelligence, avec la communication, avec les relations entre personnes… Pour moi tout le monde est divin, tout le monde est sacré. La vie sur terre est sacrée. La nature aussi.

Ce qui me révolte le plus, c’est le non respect de l’environnement, la guerre et tous ces abus, ainsi que cet aspect "patriarcal" du monde. J’ai dû faire face, pendant cette tournée en Europe, à un tas de questions du genre "Etes vous sérieuse quand vous parlez de paix ? Vous plaisantez n’est-ce pas ? " Je fais soi-disant partie d’un mouvement musical appelé "New Weird America" (La nouvelle Amérique bizarre)… Mon sentiment là dessus, c’est que les USA sont engagés dans une guerre terrible et très violente, alors quand je parle de paix, ça n’a rien d’une blague. C’est important de parler de paix dans ces moments là, d’essayer de la faire avancer et de faire comprendre ce que concrètement veut dire le mot paix.

Le sentiment de célébration, de joie est pour moi un antidote, c’est très important de le communiquer. Donc si c’est bizarre de vouloir la paix, de vouloir protéger la nature, alors oui je suis bizarre ! Mais ce qui l’est encore plus pour moi c’est que des gens pensent que la paix est étrange ! C’est vraiment édifiant de l’état d’esprit du monde actuel. Si la paix est bizarre et que la guerre est normale, alors je ne sais plus…

Que ferais-tu si tu n’écrivais pas de chansons ? Quelle sorte de travail dit "normal" ferais-tu ?

Becky Stark : Eh bien, disons que j’aimerais avoir un show télé dans lequel il y aurait de la danse, du chant, des costumes, des interviews et aussi des reportages de rue concernant les initiatives de paix. Je crois que les gens ne devraient pas avoir de travail régulier. Chacun devrait imaginer son travail idéal. Ça a toujours été dur pour moi de trouver un boulot normal et je me suis faite virer à chaque fois. A tel point que je suis devenue SDF. C’était vraiment triste… J’ai finalement réalisé que je devais me lancer dans ce que j’aimais.

Le fait d’avoir réalisé que j’avais quelque chose à offrir et de me concentrer sur cet objectif, est une véritable source de stabilité. Cependant, je m’imagine parfois diriger un nouveau projet de système de retraitement des eaux usées. C’est vraiment fondamental que nous changions nos habitudes de consommation d’eau. Ces dernières années, j’avais également rêvé de lancer un éco-village. Mais j’aimerai aussi avoir un show télé pour les enfants. Ou être fermière. Ou romancière. Etre une architecte de la paix sur terre.

Lavender Diamond, le groupe, a été signé sur Matador pour les USA et sur Rough Trade pour le reste du monde. Votre premier album va donc sortir au printemps prochain, il s’appellera "Imagine Our Love". Qu’est ce que ce titre signifie ? Etes vous fiers de ce disque ?

Becky Stark : Ron a eu l’idée pour le titre. Il lisait un livre appelé je crois "Teachings and Love" d’un auteur vietnamien Thich Naht Hanh. Cet auteur est à l’origine d’un mouvement qui avait pour but de mettre fin à la guerre du Vietnam. Il était venu au USA pour travailler avec Martin Luther King Jr pour stopper cette guerre. Il est toujours vivant aujourd’hui. Il a écrit plusieurs livres sur la paix. Dans un de ces livres, il y a un passage qui dit… je ne me rappelle pas exactement, ça commençait par "We Imagine Our Love…"…

Bref, l’histoire c’était que tu pouvais grâce à ton imagination ou grâce à ton esprit, faire en sorte que l’amour englobe le monde. Ron était tellement emballé par cette histoire qu’il voulait que l’ensemble du passage soit le titre de l’album ! C’était bien sûr trop long ! Voilà pourquoi on l’a appelé "Imagine Our Love". Je pense que c’est un bon titre. Et oui, je suis en fait très fière de cet album. On a mis beaucoup d’amour dedans, ça a été assez long de le finir car je voulais que chaque moment soit parfait.

Avez-vous déjà prévu de revenir en Europe pour cet album ?

Becky Stark : Oui je crois, peut-être en juin ou en juillet.

Dans la mesure où votre batteur Ron Regé dessine des BD, avez-vous pensé à mélanger dessin et musique sur scène ?

Becky Stark : Oh oui absolument ! Nous avons prévu de projeter de superbes dessins en fond !

Tu dois participer à un album de reprises de Madonna par des artistes de la scène folk de Los Angeles, tels que Devendra Banhart, Women & Children, Bat Fot Lashes, Giant Drag… Quelle chanson as-tu reprise ? Peux-tu nous expliquer comment ce projet a pris forme ?

Becky Stark : Nous devons reprendre "Like a Prayer", cependant la semaine dernière j’ai pensé que nous devrions plutôt reprendre "Where’s the Party". Je suis une immense fan de Madonna. Elle est pour moi la plus grande artiste folk depuis les Beatles, car la musique folk c’est de la musique pop. En effet, le folk et la pop sont deux genres musicaux pour les gens, pour le peuple.

Depuis les Beatles, à part Madonna, je ne vois aucun autre artiste qui a écrit autant de chansons pour autant de gens différents. En particulier, les 1ers albums. Ils sont tellement beaux et contiennent tellement de chansons simples. J’aime vraiment Madonna. Notre participation à ce projet est une heureuse coïncidence. C’est le jour où j’ai remarqué l’annonce pour participer à ce projet, dont je voulais tellement faire partie, que les choses se sont passées. J’ai appelé Paul du label Manimal Vinyl - à l’époque un parfait inconnu pour moi - pour avoir le numéro d’une amie dont il s’occupe.

Nous avons fini par sympathiser, et puis il nous avait déjà vus en concert, du coup quand je lui ai dit que ce projet de compilations me semblait être une fabuleuse idée, il a simplement proposé qu’on participe. Paul m’a expliqué par la suite qu’il n’a jamais vraiment écouté Madonna mais que cette idée lui est venue en rêve. Et Paul suit toujours ses rêves. La compilation doit sortir à l’automne prochain.

Depuis quelques années, la scène folk américaine est très active et très différente de ce qu’elle était il y a 10 ans, moins triste (Palace, Smog). Les femmes aussi sont beaucoup plus impliquées, White Magic, Faun Fables, Joanna Newsom et toi ! Existent-ils des liens entre ces groupes de filles à l’intérieur de ce qu’on appelle le mouvement "New Weird America" (ndlr : vs le mouvement "Old Weird America") ?

Becky Stark : Ce mouvement underground est très lié. Cette communauté n’arrête pas de grandir. C’est petit et grand à la fois. En tout cas c’est vrai que c’est plus joyeux qu’avant. Il me semble que nous sommes liés par cette tristesse et que l’expression de celle-ci est une nécessité primaire, car nous vivons des jours vraiment sombres ces temps en Amérique. Mais la joie est l’expression la plus radicale désormais.

J’adore la joie et la célébrer. La musique est tellement belle et les gens ont besoin de cette beauté pour survivre. La beauté est sans fin, le pouvoir de la beauté est éternel. Je pense que les femmes sont en grande partie responsable de cette évolution. Il semble que maintenant les femmes prennent le leadership dans la musique, et c’est merveilleux. C’est la chose la plus importante que nous pouvons faire sur cette planète, apporter la paix et l’équité entre les femmes et les hommes.

J’étais à l’école avec Mira Billote des White Magic. Elle est la plus magnifique songwriteur de ces dernières années. Elle est une grande source d’inspiration pour moi. J’aime aussi énormément ce que fait Joanna Newson, comme Faun Fables d’ailleurs. Mais je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de rencontrer ces femmes. J’aimerai beaucoup !

Dans les années 60, la scène folk ainsi que le mouvement hippy étaient très impliqués politiquement. De nombreuses "protest songs" datent d’ailleurs de cette époque. Aujourd’hui les paroles sont plus souvent poétiques, amusantes ou innocentes. Est-ce que ça signifie que les jeunes chanteurs ne veulent pas s‘impliquer dans les combats politiques ?

Becky Stark : Non pas du tout. Les jeunes chanteurs veulent plus que jamais s’investir dans des combats politiques. Mais le paysage de la culture de protestation a radicalement changé depuis les années 60. Les manifestations de rue ne se font plus autant qu’à l’époque. La police est bien plus sinistre et totalitaire. Le FBI aussi est de plus en plus impliqué. Toutes les manifestations altermondialistes ou anti-gouvernementales sont soit supprimées soit extrêmement contrôlées.

Je me souviens quand la guerre en Irak a commencé en 2003, il y avait une immense manifestation réunissant plus de 100 000 personnes à Hollywood, mais lorsque les médias ont parlé de cette affaire, ils ont réduit le nombre de participants à tout juste 10 000 personnes ! Les médias américains sont pervertis. Vouloir la paix et agir pour cela est plus radical que de combattre.

Dernière question, comment peux-tu résumer ta musique en 3 mots ? Attention tu n’as pas droit à "Imagine Our Love" !

Becky Stark : Je vais donner deux réponses si j’ai le droit ! "Strong but gentle" et "Pure love energies".

Voudrais-tu dire quelque chose en particulier pour conclure cette intevriew ?

Becky Stark : Je suis vraiment ravie et chanceuse d’être ici à Paris, en France. Je suis tellement heureuse de pouvoir partager la musique avec les gens ici. Je pense qu’il y a un merveilleux futur qui nous attend tous. On devrait tous se souvenir de ça. On a tous beaucoup d’amour en nous et l’amour donne la force de faire beaucoup de choses. On a toute l’énergie, la force, dont on a besoin. Donc continuez comme ça tout le monde !

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Imagine our love de Lavender Diamond
La chronique de l'album Incorruptible Heart de Lavender Diamond

En savoir plus :

Le site officiel de Lavender Diamond

En collaboration avec Barbel

Crédit photo: Syx


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