Birds of Nazca est un duo instrumental nantais de stoner, heavy psych et doom formé en 2019.
Voilà la première ligne de la bio jointe au disque que j’ai reçu. Il y a là, sur le papier, tous les éléments pour que j’écoute cet album, nommé Pangaea, qui signifie, comme je l’ai appris par Jérôme notre cultivé chroniqueur de la Mare aux Grenouilles, tu sais le talk curieux et culturel de Froggy’s Delight, un vendredi sur deux à 21h sur twitch et qui a l’intro la plus longue du twitch game (pfff c’est long à dire sans prendre son souffle) : c’est donc la désignation d’un super continent qui a regroupé la quasi-totalité des terres émergées de la Terre. Voilà, au moins tu auras peut-être appris quelque chose.
Musicalement, la promesse est tenue : c’est puissant mais pas violent, c’est très bien composé et Guillaume à la guitare et Romuald à la batterie nous offre un son massif avec "des riffs hypnotiques, des ambiances tantôt lourdes, tantôt éthérées". Voilà, tout est dit et bien dit, puisque c’est eux-mêmes qui le disent et qui est le mieux placé pour parler de sa musique que les musiciens eux-mêmes ?
Ils ont enregistré live pour capturer l’énergie brute et la complicité qui les unissent. Leur performance scénique, notamment celle au Supersonic à Paris en 2024 au Westill Fest a confirmé leur talent et qu’il fallait compter sur eux à l’avenir.
L'album déjà très bon est associé à une pochette magnifique de Léo Girard et si tu veux tout savoir, l’album est enregistré par Alexis Bouvier (Basilic Music) au Studio du Faune 35.
La dernière chose que j’ai à dire, au risque de me répéter, c’est que nous sommes chanceux en France d’avoir des musiciens et des artistes capables de faire rayonner la scène au niveau européen et international.
Tu sais ce qu’il te reste à faire !
